BiloQuebecCity
Feb 17, 2008, 4:40 PM
Feu vert au Super PEPS
Carl Tardif
Le Soleil
Québec
Le dossier administratif du Super PEPS de l’Université Laval est maintenant complété, la première pelletée de terre ne devrait donc pas tarder. Selon les informations du Soleil, le gouvernement fédéral confirmera mercredi en conférence de presse sa participation de 32,5 millions $ à ce projet d’équipement sportif évalué à 75 millions $.
Les trois partenaires publics assisteront donc à cette rencontre de presse, soit le fédéral, le provincial et le municipal. Le 7 mars 2007, le premier ministre du Québec, Jean Charest, avait pris l’engagement d’investir 32,5 millions $ dans la métamorphose du PEPS. En plus des 65 millions $ divisés à parts égales par Québec et Ottawa, la Ville de Québec injectera 10 millions $ dans la réalisation de ce chantier qui modifiera le paysage sportif de la capitale.
La santé au sens large
«Ce projet est en lien direct avec notre volonté d’aborder la santé au sens large du terme. Il faut assurer à la population des soins de qualité, mais on doit aussi miser sur la prévention. La pratique des sports et l’activité physique cadrent parfaitement avec la lutte à la sédentarité. Et en donnant accès à 80 % de ses nouvelles installations aux citoyens, le PEPS joue un rôle important à cet égard dans la région», faisait savoir M. Charest lors du dévoilement de l’investissement de son gouvernement.
La défunte mairesse de Québec, Andrée Boucher, avait donné son accord à une participation de la Ville à hauteur de 10 millions $ et son successeur, Régis Labeaume, a entériné cette décision depuis qu’il occupe le fauteuil de premier magistrat de la Ville. Il ne manquait que l’accord d’Ottawa, ce qui vient d’être fait, d’où l’annonce qui surviendra en milieu de semaine.
30 mois de chantier
Le projet se veut une transformation majeure des plateaux du Pavillon de l’éducation physique et des sports que l’on retrouve aujourd’hui sur le campus universitaire. Une fois le chantier ouvert, il devrait s’étendre sur une période de 30 mois.
Le Super PEPS comptera donc un centre de soccer-football intérieur, un bassin de natation aux dimensions olympiques doté de gradins d’une capacité de 1600 sièges, un amphithéâtre-gymnase avec des loges corporatives et 3500 places, quatre terrains extérieurs avec des surfaces synthétiques, des locaux administratifs et l’installation d’un système d’éclairage à l’actuel stade extérieur en plus de concessions alimentaires et des services sanitaires.
Au cours des derniers mois, l’ancien candidat à la mairie Marc Bellemare, avait lancé l’idée de profiter de l’occasion pour construire un stade de football de 25 000 places dans l’espoir d’avoir l’équipement nécessaire pour l’obtention d’une franchise dans la Ligue canadienne de football.
Il avait cependant essuyé un refus de la part du recteur de l’Université Laval, Denis Brière, qui ne voulait pas modifier le projet déjà fort avancé afin de ne pas le perdre. Il avait confié au Soleil que «le Super PEPS est un important projet pour l’après-2008».
Good news!!
Carl Tardif
Le Soleil
Québec
Le dossier administratif du Super PEPS de l’Université Laval est maintenant complété, la première pelletée de terre ne devrait donc pas tarder. Selon les informations du Soleil, le gouvernement fédéral confirmera mercredi en conférence de presse sa participation de 32,5 millions $ à ce projet d’équipement sportif évalué à 75 millions $.
Les trois partenaires publics assisteront donc à cette rencontre de presse, soit le fédéral, le provincial et le municipal. Le 7 mars 2007, le premier ministre du Québec, Jean Charest, avait pris l’engagement d’investir 32,5 millions $ dans la métamorphose du PEPS. En plus des 65 millions $ divisés à parts égales par Québec et Ottawa, la Ville de Québec injectera 10 millions $ dans la réalisation de ce chantier qui modifiera le paysage sportif de la capitale.
La santé au sens large
«Ce projet est en lien direct avec notre volonté d’aborder la santé au sens large du terme. Il faut assurer à la population des soins de qualité, mais on doit aussi miser sur la prévention. La pratique des sports et l’activité physique cadrent parfaitement avec la lutte à la sédentarité. Et en donnant accès à 80 % de ses nouvelles installations aux citoyens, le PEPS joue un rôle important à cet égard dans la région», faisait savoir M. Charest lors du dévoilement de l’investissement de son gouvernement.
La défunte mairesse de Québec, Andrée Boucher, avait donné son accord à une participation de la Ville à hauteur de 10 millions $ et son successeur, Régis Labeaume, a entériné cette décision depuis qu’il occupe le fauteuil de premier magistrat de la Ville. Il ne manquait que l’accord d’Ottawa, ce qui vient d’être fait, d’où l’annonce qui surviendra en milieu de semaine.
30 mois de chantier
Le projet se veut une transformation majeure des plateaux du Pavillon de l’éducation physique et des sports que l’on retrouve aujourd’hui sur le campus universitaire. Une fois le chantier ouvert, il devrait s’étendre sur une période de 30 mois.
Le Super PEPS comptera donc un centre de soccer-football intérieur, un bassin de natation aux dimensions olympiques doté de gradins d’une capacité de 1600 sièges, un amphithéâtre-gymnase avec des loges corporatives et 3500 places, quatre terrains extérieurs avec des surfaces synthétiques, des locaux administratifs et l’installation d’un système d’éclairage à l’actuel stade extérieur en plus de concessions alimentaires et des services sanitaires.
Au cours des derniers mois, l’ancien candidat à la mairie Marc Bellemare, avait lancé l’idée de profiter de l’occasion pour construire un stade de football de 25 000 places dans l’espoir d’avoir l’équipement nécessaire pour l’obtention d’une franchise dans la Ligue canadienne de football.
Il avait cependant essuyé un refus de la part du recteur de l’Université Laval, Denis Brière, qui ne voulait pas modifier le projet déjà fort avancé afin de ne pas le perdre. Il avait confié au Soleil que «le Super PEPS est un important projet pour l’après-2008».
Good news!!