Je vous incite à visiter le nouveau sentier de la Gorge. Avec l'éclairage, c'est assez impressionnant. Parlant d'éclairage, justement, à la séance du conseil municipal de lundi, un certain M. Laliberté s'est présenté pour critiquer le fait que la ville ait imposé un moratoire sur l'installation de panneaux électroniques à DEL. Il trouvait exagéré de mettre un moratoire là-dessus sans bien connaitre les conséquences de la lumière nocturne et proposait de mettre un moratoire sur le moratoire le temps de mettre les choses au clair!!! C'est complètement ridicule! C'est comme si l'on décidait de permettre l'exploitation des gaz de schiste en attendant de savoir si c'est dangereux tout en admettant que cela puisse l'être! En plus, il est déjà prouvé (par exemple) que 30% des cas de cancer du sein sont causés par la lumière bleue nocturne! Évidemment, il n'en a pas parlé...
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Le schéma peut être consulté
ici. La «nouvelle vocation pour les Sommets de la santé» évoquée dans cet extrait fait référence au fait que «la Ville souhaite faire de ces terrains une zone industrielle de haute technologie, de recherche et de développement, au même titre que le parc scientifique qui accueille les Laboratoires Charles River».
Publié le 14 août 2012 à 10h31 | Mis à jour à 10h31
Un plan de développement pour 15 ans
David Bombardier
La Tribune
(Sherbrooke) Développement résidentiel autorisé jusqu'au plateau Saint-Joseph, concentration de bureaux au centre-ville et dans la cellule St-Pierre bordant le lac des Nations, nouvelle vocation pour les Sommets de la santé : le schéma d'aménagement et de développement révisé met la table au développement de Sherbrooke pour les 15 prochaines années.
Le document d'environ 200 pages a été unanimement entériné hier soir par le conseil municipal. Il vise à remplacer l'actuel schéma d'aménagement de Sherbrooke, vieux de 25 ans. Le nouveau schéma fera l'objet de consultations publiques à la fin octobre, pour une adoption vers l'été 2013.
« C'est l'armature sur laquelle on s'appuiera pour planifier le développement de la ville », résume le maire de Sherbrooke, Bernard Sévigny.
Le nouveau schéma vient traduire en enjeux et en orientations d'aménagement la vision stratégique adoptée en janvier dernier. Il détermine également la façon dont s'organisera l'occupation du territoire sherbrookois jusqu'en 2027. De nombreux intervenants ont été mis à contribution. « On ne pourra pas nous accuser de travailler en silos », souligne la présidente du comité consultatif d'urbanisme de la Ville, Chantal L'Espérance.
Comme l'avait évoqué La Tribune en juin, la Ville de Sherbrooke veut concentrer 80 pour cent des nouveaux bureaux privés de plus de 750 mètres carrés (8000 pieds carrés) au centre-ville.
Pour ce faire, le périmètre du centre-ville sera élargi. Il comprendra la rue King, entre les rues de Vimy et Murray, et englobera toute la cellule Saint-Pierre, soit la zone industrielle et la gare de triage situées du côté sud du lac des Nations. Dans cette zone, la Ville inclura l'ancienne usine de Tissages Sherbrooke, ce qui permettra enfin au promoteur Olymbec d'y loger des bureaux privés.
Quant aux nouveaux bureaux gouvernementaux, ils devront être situés en totalité dans le centre-ville non élargi.
Texte complet dans La Tribune de mardi.
http://www.lapresse.ca/la-tribune/sh...8_section_POS5
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Voilà quelque chose dont on peut se réjouir.
Publié le 14 août 2012 à 10h41 | Mis à jour le 14 août 2012 à 10h41
Sherbrooke installera quatre bornes de recharge
David Bombardier
La Tribune
(SHERBROOKE) Quatre bornes de recharge pour véhicules électriques seront installées au cours du prochain mois par la Ville de Sherbrooke, qui adhérera ainsi au «circuit électrique» québécois mis en place en mars par Hydro-Québec et ses partenaires.
Ces bornes seront implantées dans quatre stationnements municipaux, soit à la Grenouillère, au Marché de la gare, au plateau Sylvie-Daigle et au Centre récréatif de Rock Forest. Chaque recharge coûtera 2,50 $, peu importe sa durée. La Ville injectera un peu moins de 25 000 $ pour acquérir ces bornes.
Selon Christine Fliesen, chef de la division environnement de la Ville, des établissements publics comme le Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke (CHUS), l'Université de Sherbrooke, l'Université Bishop's et le Cégep de Sherbrooke pourraient également offrir des bornes de recharge à leur clientèle. Sherbrooke deviendrait ainsi une communauté électrique, avance-t-on.
À l'heure actuelle, on compterait moins d'une vingtaine de véhicules électriques à Sherbrooke. Les bornes publiques inciteraient la multiplication de ces véhicules.
Comme l'annonçait La Tribune la semaine dernière, la Ville achètera aussi un véhicule électrique au cours des prochaines semaines, pour un coût d'environ 35 000 $. Ce véhicule sera utilisé par la patrouille verte en été et pour les déplacements professionnels du personnel de la division de l'environnement de la Ville.
Texte complet dans La Tribune de mardi.
http://www.lapresse.ca/la-tribune/es...8_section_POS7
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L'image brandie par Chantale L'Espérance et Bernard Sévigny illustre l'oeuvre qui est actuellement en cours de réalisation sous le pont Montcalm.
Publié le 14 août 2012 à 11h15 | Mis à jour le 14 août 2012 à 11h15
De pollution visuelle à oeuvre d'art
ARCHIVES, RÉDACTION
Véronique Larocque
La Tribune
(Sherbrooke) Les Sherbrookois verront peut-être les graffitis d'un nouvel oeil. Afin de limiter la pollution visuelle et les actes de vandalisme sur les murs et le mobilier urbain, la Ville de Sherbrooke a inauguré neuf espaces où les experts de la canette pourront s'exprimer et créer... de véritables oeuvres d'art.
Chaque année, la Ville de Sherbrooke dépense près de 100 000 $ pour effacer les graffitis qui apparaissent sur son territoire. « On a des plaintes de citoyens qui nous disent qu'il y a des graffitis à différents endroits. On augmente donc les budgets pour les effacer, mais ils réapparaissent. C'est un cercle vicieux «, explique la conseillère municipale, Chantale L'Espérance.
Voulant sortir de ce cycle infernal, le conseil municipal a mis sur pied le comité tags et graffitis de la Ville de Sherbrooke, dont Mme L'Espérance est la présidente.
Hier, cette dernière a pris une pause de ses vacances estivales pour présenter le fruit des efforts de son comité : neuf lieux, identifiés par une affiche, où ceux qui le désirent pourront créer librement, et ce, dès maintenant. L'arrière de bâtiments de parc, les piliers de certains ponts, des murs offerts par différents organismes sont autant d'endroits qui se verront égayer d'une touche de couleur.
Ces neuf lieux seront repeints régulièrement par des jeunes fréquentant l'organisme Le Pont pour permettre à de nouveaux graffiteurs de s'y exprimer. Toutefois, les oeuvres créées ne tomberont pas dans l'oubli puisque des photos seront prises et conservées. Les meilleurs artistes découverts sur ces murs pourraient d'ailleurs être approchés par la Ville pour des projets futurs, assure Mme L'Espérance.
Texte complet dans La Tribune de mardi.
http://www.lapresse.ca/la-tribune/ac...8_section_POS6
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Mercredi, 15 août 2012
Le projet du lieu de diffusion spécialisé pour l’enfance et la jeunesse se concrétisera à Sherbrooke
La demande d'aide financière adressée par la Ville de Sherbrooke au ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCF) pour l'obtention d'une subvention pour la construction d'un lieu de diffusion spécialisé pour l'enfance et la jeunesse a été jugée recevable.
Les membres du conseil municipal ont donc décidé d'aller de l'avant, lundi soir dernier, avec la signature d'une entente de principe avec Côté scène, le consortium formé du Petit Théâtre de Sherbrooke, du Théâtre du Double signe et de la compagnie de danse Sursaut.
Afin d'accroître les chances d'obtenir une subvention à hauteur de 3 380 350 $, en vertu du programme d'Aide aux immobilisations du gouvernement du Québec, la Ville de Sherbrooke doit notamment fournir les détails concernant la gestion du futur lieu de diffusion. Ainsi, conformément à cette entente, Côté scène se verra confier la gestion administrative et artistique du lieu de diffusion, lequel doit être érigé à proximité du Centre des arts de la scène Jean-Besré (CASJB).
Bien que le MCCCF précise, dans sa réponse datant du 4 juillet 2012, que la priorité est dévolue aux projets visant le maintien des actifs en matière d'aide aux immobilisations, la Ville de Sherbrooke compte obtenir l'appui du prochain gouvernement pour réaliser cet important projet attendu depuis plus de 20 ans par le milieu culturel sherbrookois.
« Tant en raison de leur mission respective qu'au chapitre des services, le jumelage du centre de diffusion et du CASJB est tout simplement une formule gagnante! Nous souhaitons vivement que le prochain gouvernement comprendra toute l'importance de ce projet pour la jeunesse et les compagnies professionnelles sherbrookoises, d'autant plus qu'il bénéficie d'un large consensus et qu'il s'appuie sur un solide partenariat », souligne vigoureusement le maire de Sherbrooke, Bernard Sévigny.
Source : Service des communications de la Ville de Sherbrooke
http://www.estrieplus.com/contenu-04...535-21654.html